Un week-end fessée

Catégories : Femmes fessées
il y a 9 ans

Vendredi soir, 20 heures, aéroport de Montpellier

Ca y est, il arrive enfin ! Deux semaines que je l’attends impatiemment … c’était long sans lui ! Les retrouvailles promettent d’être mouvementées, d’autant plus que je n’ai pas arrêté de le provoquer ... (eh oui, bêtises et provocations, c’est mon dada !) Va-t-il vraiment concrétiser tout ce qu’il m’a promis par téléphone ? Je le vois, on s’étreint, heureux de se retrouver ...

Lui : « Tu es belle. Sympa ta petite robe ... »

Moi : « Tu n’es pas mal non plus avec ta belle chemise à fleurs ! » (j’adore !)

On file : nous avons de la visite ce soir, des amis doivent arriver à 21 heures. J’aime quand les week-end commencent aussi bien, avec les personnes que j’aime autour de moi, et je suis aux anges ! On arrive à la maison, et je saute au cou de mes amis, qui viennent d'arriver ... La soirée est des plus sympathique ... on se couche à 4h30 du matin !

Avant que nous allions nous coucher, il se passe quelque chose de particulièrement intéressant à mes yeux : mon ami administre une bonne claque sur les fesses de mon amie (est-ce un présage ?) en lui disant : « Allez, dépêche toi, je n’en peux plus, j’aimerais dormir ... ». Car évidemment nous papotions dans le couloir comme deux commères ... Et moi qui rétorque aussitôt : « Y’en a qui ont de la chance ! ». Mon chéri me regarde mais ne dit rien.

Hop, tout le monde au lit ! On va tous faire de beaux rêves !

Le lendemain matin : petit déjeuner dans la bonne humeur, puis direction le Lac du Salagou pour une balade en VTT. On aime se retrouver tous les quatre pour faire du sport ensemble, et de plus cet endroit est tellement ... magnifique ! Bon, je vous passe les détails car nous y serions encore demain soir : ils partent en début d’après-midi car ils ont encore de la famille à voir dans la région ...

Nous voici enfin seuls, mon petit chéri et moi. On parle, et je lui fais part (entre autre) des problèmes que j’ai pu rencontrer avec le PC. À ma grande surprise, il va de suite allumer l’ordinateur ... Vexée par cette attitude (mais surtout parce que j’ai de la suite dans les idées), je me dirige vers l’endroit où j’ai caché la cravache ... Je reviens vers lui avec l’instrument, et il sourit en me disant :

« Ah, ça y est, tu l’as enfin récupéré ... » (Elle était chez mes parents depuis au moins 5 ans, c’était mon meilleur ami qui me l’avait offert.)

« Oui, et je suis déçue de voir que tu t’intéresses plus à ton PC qu’à ta chérie. Eh bien pour te punir, je vais te mettre quelques coups de cravache. Lève-toi ! »

Là, je savais que je l’avais touché. Il est un peu macho, alors la fausse-dominatrice que je suis n'à eu droit en retour qu'à un « Bien sûr, bien sûr ... Tu ferais mieux de reposer gentiment tout çà à sa place car sinon tu pourrais te blesser ».

« Non non, lève toi. Allez, s'il-te-plaît, joue le jeu ...

  • Et puis quoi encore ? »

J’insiste, j’insiste encore et je ré-insiste (pour la forme, sachant pertinemment que je perdais mon temps).

« Ça suffit, arrête tes bêtises où je me fâche »

Ça y est, il commence à être agacé. Plus que quelques minutes de provocations et je suis persuadée d’arriver à mes fins ! Il m’avait menacé d’une fessée (il sait que j’aime ça) quelques jours auparavant, car j’ai fait pas mal de gaffes (petit accident de voiture, erreur dans la déclaration d’impôt, sans oublier mes paroles un peu trop « olé » comme il le dit si bien ...) Bref : je prends de l’élan avec la cravache et je lui tape sur la cuisse.

L'effet est immédiat : avant que j'ai le temps de dire « ouf », il me prend la cravache des mains, me bascule sur ses genoux, et me baisse pantalon et culotte en même temps. Me voilà fesses offertes, à sa merci.

« Si tu veux jouer, on va jouer ... mais à ma manière ! »

Euh ... En l'entendant le dire sur ce ton, je n’étais plus si sûre de vouloir jouer avec lui ... De plus, je n’ai pas trop d’expérience avec les instruments, et la cravache est sans doute un de ceux que je redoute le plus. Je préfère les fessées à la main. Et puis, je ne sais pas pourquoi, mais le fait qu’il me déculotte de cette manière m’a horriblement troublée : c’était très rapide, et je ne m’attendais pas à çà ... Je pensais qu’il me fesserait par-dessus le pantalon ... au moins dans un premier temps ...

Me voici donc déculottée, un peu honteuse. Les coups de cravache s’abattent sur mon séant.

« Aïe ! Ca fait mal ! Moins fort !

  • Il fallait réfléchir avant. Tu faisais davantage la maligne, il y a 2 minutes à peine ... »

J'avais raison de craindre la cravache : ça vous cingle les fesses très rapidement ... surtout que Monsieur n’y allait pas de main morte. Les coups continuent et moi je crie « ouïlle, ouïlle, ouïlle ! Arrête ! Ca fait mal ! ». Je suis moi-même surprise de dire cela : il ne me semble pas l’avoir dit auparavant (ou alors par jeu), mais là ça faisait vraiment mal !

Toujours des coups sur mon derrière, toujours des cris ... qui l'implorent d’arrêter ce supplice. Il s’arrête. Ouf ! Je suis sauvée ... Il se lève, change de pièce. Moi je me dirige vers la glace du salon pour regarder l’état de mes fesses, et c’est bête à dire mais je les trouve jolies, d’une belle couleur rouge. Je remets ma culotte et mon pantalon, m’assoie sur le canapé, je saisie ma peluche Titi et la sert fort dans mes bras. J’ai alors une pensée pour Shanane, me disant que, finalement, je comprends pourquoi elle aime bien la cravache ...

1-0 à la 1ère mi-temps ... J’ai hâte de recommencer !

Samedi soir, 23 heures, à la maison ...

J’ai encore sur les fesses quelques traces des coups de cravache reçus il y a quelques heures à peine, mais je suis de super bonne humeur ce soir : j’ai envie de faire la folle et de faire plein de folies avec mon petit chéri ...

Ca fait des semaines que je m’entraîne sur une musique orientale devant la glace pour le spectacle de danse de fin d’année dont je vais faire partie avec mon association ... Ce soir, c’est décidé ! Puisqu’il veut voir ma chorégraphie, je vais lui en mettre plein les yeux ... Je lui dis de rester dans le bureau, le temps de préparer « ma surprise ». Aucune revendication de sa part (c’est vraiment un coquin !)

Allez, je me lance, je sors ma panoplie de « femme fatale » : top noir en dentelle pour le haut, boxer noir en dentelle pour le bas, foulard oriental bordeaux autour de la taille, avec les « petites clochettes », une étole bordeaux autour des épaules, des bas noirs en résille, des bottes à talons ...Vous me direz que j’ai l’air de rien, mais pourtant je me trouve terriblement sexy.

Ok, je suis prête ... le spectacle va commencer ... Je prépare ma musique, je prends la télécommande à la main, et je l’appelle ...

« Chéri, tu peux venir ? »

Il arrive, ouvre la porte du salon et je lance la musique (une chanson intitulée « Eshebo »). La première de ses réactions consiste en un « Ouais ... Coooool ... ». Je danse, me dandine, je m’éclate ... et je vois que ça lui plaît, alors je suis encore plus aux anges. Durant ma « prestation », il me dit : « Tu as fait d’énormes progrès en danse, je suis épaté. »

Plus de détails ? Vous voulez vraiment passer la nuit à m’écouter ? Faites gaffe, il y en a plus d’un qui a démissionné devant ma persévérance à saouler avec mes histoires. Une fois ma chorégraphie terminée, je m’approche de lui. Il m’embrasse, me caresse ... Il me dit :

« T’es super jolie, et cette tenue ... elle est terrible !

  • Ben oui, c’est celle que j’ai choisie pour le spectacle de la semaine prochaine.

  • Pardon ?

  • Ben oui : toutes les filles auront un costume oriental classique, mais moi je préfère jouer la différence et venir dans une tenue plus occidentale.

  • Pas question que tu ailles danser dans cette tenue ! Mais tu plaisantes ou quoi ?

  • Pas du tout, je suis sérieuse chéri ... Mais ne t’inquiète pas : avec les lumières, on ne voit rien du tout.

  • Tu te fous de moi où je rêve ? Avec les lumières on y verra rien ... T’as pas trouvé mieux comme argument pour me convaincre ?

  • Qu’est ce que t’es ringard quand tu t’y mets !

  • Bon écoute, tu commences sérieusement à m’énerver. Si c’est une fessée que tu cherches, tu ne vas pas tarder à avoir ce que tu souhaites. »

Un ange passe, un Titi rougit et je réponds :

« Même pas peur.

  • Ok ! Si tu me cherches, c'est tant pis pour toi ! »

Il va chercher une nouvelle fois la cravache ... Dans ma tête je me dis « encore ! » ... Il m’ordonne de me mettre en position debout, cambrée, avec mes mains sur les genoux. Vous me connaissez, je ne lui obéis pas ...

Premier coup de cravache sur mes fesses ...

« Oh, ça va pas la tête ! Tu tapes trop fort !

  • Je ne veux plus t’entendre, c’est compris ? Tu m’as saoulé pour obtenir cette fessée, alors ne viens pas te plaindre ! Et je te prierai de te mettre en position, et tout de suite ! Je ne rigole pas cette fois ! Ca veut des fessées et ça se plaint dès que j’en donne, alors faudrait savoir ce que tu veux ! »

Alors là, c’est devenu sérieux ... Mon chéri qui devient autoritaire pour une fessée ... c’était du jamais vu ! J’obéis, en me disant qu’après tout, il a raison : s’il ne m’en donne pas, je fais la gueule et s’il m’en donne, je fais tout pour l’éviter ... Quel paradoxe de vivre avec un Titi !

C’est reparti pour un tour de cinglements sur les fesses, qui avaient gardé des traces de l’après-midi ... Et voilà, ça recommence : les coups de cravache s’abattent sur mon derrière, et ça fait mal ...très mal ! Les coups sont assez forts et je me surprends à nouveau à dire :

« Ouïlle, ouïlle, ouïlle ! Ca fait mal ! Moins fort ! »

Mes fesses commencent sérieusement à me chauffer ...

Je me relève, me retourne vers lui pour qu’il ait un peu pitié de moi, et voilà que monsieur Titi me colle une grosse claque sur les fesses avec la main, en m’ordonnant de garder la position. Là, j’étais dans la quatrième dimension ! Ai-je rêvé son geste ?

Je me retourne encore : il recommence ...

Non, non, mon Titi, tu n’as pas rêvé : il vient bien de te claquer le derrière avec la main ! Évidemment, comme j’aime particulièrement les fessées à la main, je me lève, me retourne, je n’arrête pas de bouger ... et ça marche !

Il laisse tomber la cravache et continue à me fesser à la main ... Ca fait un peu mal, mais j’adore ! Je n’ai pas compté les coups. Je pense que j’aurais pu passer ma vie ainsi, mais la réalité me rappelle à l’ordre : je commence à avoir très très chaud aux fesses. Il s’arrête ...

Je regarde à nouveau mes fesses : elles sont rouges, rouges (et avec quelques bleus).

« C’était trop cool mon chéri ! J’adore quand tu me fesses comme ça ! »

Il se rapproche de moi, m’embrasse, me caresse ... et le reste ne vous regarde pas !

2ème mi-temps : 2-0. Mais à votre avis, qui est le gagnant dans cette histoire ?

Eléa

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